Quelques témoignages…

  • un patient: “J’ai toujours ma séance de chimiothérapie le lendemain du Shiatsu, et cela m’aide beaucoup à rester calme pendant cette expérience. Je me sens plus à l’aise, plus confortable, plus heureux avec le Shiatsu. Je pense que pour augmenter les chances d’avoir une chimiothérapie positive et efficace, ce genre de traitement est extrêmement important.”
  • un patient: “Je me sens chaque fois très bien, très relax. Je rentre chez moi, je prends un bon bain et je m’endors. Pour moi, les deux médecines sont complémentaires.”
  • une patiente: “Pour moi, le Shiatsu, c’était entrer en moi-même, laisser travailler sur mon corps, et m’abandonner finalement. Après je me sens en général fatiguée, mais une bonne fatigue! Les 2-3 jours qui suivent, j’ai de l’énergie. Mais pas de l’énergie sous forme de tension, de l’énergie qui me libère, qui me fait entrer plus facilement dans la vie de tous les jours. Faire ce traitement de médecine orientale d’office dans une clinique, cela peut être très bien à condition que la personne soit réceptive. Parce que je pense que s’i l’on y croit pas, on ne collabore pas et je crois que l’effet à ce moment est moindre.”
  • un soignant: “On voit des effets concrets au niveau psychologique. Des patients qui se sentent mieux, en meilleure forme, sont des patients qui vont mieux supporter leur traitement. Au départ, je vous avoue que nous étions un peu dubitatifs. Et puis certains d’entre nous ont eux-mêmes participé à des séances et se sont rendus compte du bien-être que cela leur procurait. Et donc par la suite, nous l’avons proposé nous-mêmes aux patients. Je pense qu’aujourd’hui avec les connaissances scientifiques que l’on a, la médecine orientale ne peut pas remplacer la médecine occidentale, en tout cas pour ce qui concerne le traitement du cancer. Par contre, il existe encore beaucoup de choses que, malgré nos connaissances scientifiques, aujourd’hui on n’arrive pas encore à très bien comprendre. La médecine orientale a plus tendance à considérer l’individu dans sa globalité, et à identifier des points de pression où passent un certains nombre de fluides, toute une série de notions qui sont assez abstraites pour moi. Mais qui peuvent clairement avoir un impact sur un être, sur des patients… Donc je vois cela plutôt comme un partenariat entre deux approches complémentaires, plutôt qu’une alternative où ce serait soit l’un, soit l’autre.”

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